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4 avril 2024

Les faits ne mentent pas

Les faits au sujet de la restructuration de Bell

Alors que certains déforment la vérité, voici les faits sur la restructuration de Bell annoncée le 8 février.

  1. Nous soutenons tous les membres de l’équipe touchés
  • Bell soutient tous les membres de l’équipe touchés en leur offrant une indemnité de départ équitable, des services de transition de carrière et un accès continu à leur couverture de soins de santé.
  • Voir plusieurs membres talentueux de notre équipe quitter l’entreprise n’est pas facile. Toutefois, la décision de procéder à une restructuration était nécessaire en raison de la situation économique, de la concurrence et des conditions réglementaires actuelles.
  1. Nous avons apporté des changements à l’échelle de Bell, et moins de 10 % des départs étaient chez Bell Média
  • Nous avons supprimé 4 800 postes à l’échelle de Bell et à tous les échelons de l’entreprise. Ce nombre comprend les départs volontaires et la suppression des postes vacants.
  • Moins de 10 % des départs étaient chez Bell Média, c’est-à-dire 440 postes au total.
  • La restructuration de Bell en juin 2023 a touché 1 300 postes, répartis dans tous les secteurs de l’entreprise.
  • Plusieurs entreprises au Canada et ailleurs dans le monde ont dû prendre les mêmes décisions difficiles et procéder à une restructuration, y compris la plupart de nos concurrents directs du secteur des communications et des médias.
  1. Nous avons collaboré étroitement avec Unifor tout au long du processus, et nous continuons de le faire
  • Avec l’accord préalable d’Unifor, Bell a offert des indemnités de départ volontaire à la majorité des employés syndiqués touchés par la restructuration.
  • La restructuration à l’échelle de Bell touche environ 800 membres d’Unifor. Nous prévoyons que la majorité de ces employés syndiqués quitteront volontairement l’entreprise avec une indemnité de départ volontaire.
  • Bell respecte toutes ses obligations en vertu des conventions collectives respectives.
  1. Nous avons collaboré avec Unifor avant de rencontrer les employés
  • Nous avons informé Unifor à l’avance de notre intention de rencontrer des employés virtuellement. Les représentants d’Unifor n’ont exprimé aucune préoccupation à ce sujet.
  • Avant de procéder aux mises à pied des employés syndiqués le 20 mars, Bell a tenu une réunion de trois heures avec Unifor. Lors de cette rencontre, nous avons expliqué le processus détaillé de mises à pied et de départ volontaire pour les employés syndiqués.
  • Nous avons opté pour des réunions virtuelles afin de respecter les conditions de travail des employés, puisque la plupart travaillaient à distance, conformément à leur convention collective.
  • Le 20 mars, Bell a commencé à tenir des rencontres avec des membres de l’équipe syndiqués pour les informer des changements à venir, comme entendu au préalable avec Unifor. Ces réunions se sont faites en groupes afin que les employés occupant les mêmes rôles soient informés des changements au même moment.
  • Les employés touchés ont ensuite été invités à une rencontre individuelle avec un représentant des ressources humaines pour discuter de leur indemnité de départ. Ils avaient également la possibilité d’être accompagnés d’un représentant syndical.
  1. Nous offrons davantage de nouvelles
  • Bell Média dépasse largement ses obligations réglementaires en matière de nouvelles locales. Nous diffusons plus de 25 000 heures de nouvelles locales par année. C’est 150 % de plus que le nombre d’heures exigées par le CRTC.
  • En 2021, Bell Média a lancé Noovo Info. Lors de son lancement, la salle de nouvelles a amené un vent de fraîcheur et une nouvelle perspective dans le secteur de l’actualité francophone. Bell Média a embauché une équipe de journalistes francophones pour produire et diffuser des nouvelles dans cinq marchés du Québec à la télévision, à la radio et en ligne. Depuis, la salle de nouvelles de Noovo Info a connu une croissance de 25 %.
  • Noovo Info diffuse plus de 3 000 heures de nouvelles par année dont approximativement 1 300 heures sont des nouvelles locales, c’est plus que nos obligations réglementaires.
  • Noovo Info est la seule plateforme de nouvelles au Québec en croissance et notre auditoire est 15 ans plus jeune que pour les autres services de nouvelles francophones.
  • CTV diffuse et crée maintenant plus de bulletins nationaux que jamais. La production de nouvelles nationales a augmenté de 70 %, ce qui représente 120 heures par année, un record en 60 ans d’existence.
  • Pour la première fois, les journalistes de CTV National News présenteront bientôt l’actualité et des histoires provenant des dix provinces canadiennes. Pour CTV National News, il y aura également une augmentation de 35 % du nombre de correspondants qu’avant nos deux dernières restructurations.
  • Bell Média investit 1,7 milliard de dollars par année dans le contenu et la programmation, y compris 275 millions de dollars en nouvelles.
  • Malgré ces investissements importants, les chaînes traditionnelles de CTV ont perdu plus de 180 millions de dollars l’an dernier. Bell Média subit des pertes de plus de 40 millions de dollars par année en lien avec les services de nouvelles.
  1. Nous investissons dans les nouvelles numériques
  • Noovo Info est le premier service de nouvelles à avoir un journaliste dédié à la production de contenu sur TikTok, ce qui a généré plus de 16 millions de visionnements sur cette plateforme.
  • Les auditoires s’attendent à un accès aux nouvelles en tout temps sur les plateformes numériques. Pour répondre à leurs attentes, CTV publie en moyenne trois fois plus de nouvelles par jour que lorsque Bell l’a achetée il y a 13 ans.
  • CTV News a lancé sa toute première chaîne de télévision gratuite soutenue par la publicité. Elle offre aux téléspectateurs plus de choix pour regarder les nouvelles sur les plateformes numériques.
  1. Nous disposons d’une base d’actionnaires unique qui comprend nos employés
  • Tous les employés de Bell, y compris les membres d’Unifor, peuvent participer au programme d’achat d’actions pour les employés de BCE et, par conséquent, devenir des actionnaires de l’entreprise.
  • La base d’actionnaires de BCE est unique au Canada. Les investisseurs individuels détiennent 46 % de l’entreprise, en grande partie dans le cadre de leur stratégie d’investissements et de planification de leur retraite.
  • Les investisseurs institutionnels, comme les grandes caisses de retraite canadiennes qui gèrent les régimes de retraite publics fédéraux, provinciaux et municipaux, détiennent le reste de nos actions. Cela signifie que de nombreux travailleurs et travailleuses du secteur public, comme le personnel infirmier et enseignant, profitent des actions de BCE.
  • Parmi les actionnaires de BCE, on compte également des institutions qui gèrent les fonds communs de placement que plusieurs Canadiens et Canadiennes détiennent dans leur épargne-retraite.
  • Pour attirer des capitaux afin d’investir dans l’expansion du réseau, les nouvelles et le contenu, nous devons accroître les revenus, les bénéfices et les dividendes chaque année. Si les entreprises canadiennes n’attirent pas d’investissements, les capitaux iront ailleurs.
  1. Nous payons près de deux milliards de dollars par année en frais et contributions réglementaires
  • Bell verse près de deux milliards de dollars par année en frais et contributions réglementaires au fédéral.
  • En revanche, Amazon, Disney, Netflix et d’autres géants de la diffusion en continu (tous plus grands que Bell) ne paient rien, et ce, même s’ils empochent des milliards de revenus chaque année grâce aux consommateurs canadiens.
  1. Nous avons besoin d’une réglementation qui s’adapte aux changements rapides
  • Le secteur canadien des médias traditionnels est en crise. Plusieurs facteurs sont en cause comme les nouvelles habitudes des consommateurs, les changements technologiques et les besoins changeants des annonceurs. De plus, nous faisons face à la concurrence vigoureuse des diffuseurs étrangers et des géants du Web qui ne sont pas soumis aux mêmes réglementations coûteuses que les diffuseurs canadiens.
  • La technologie et les habitudes de visionnement ont transformé de façon permanente le secteur des médias au Canada. Ce qui fonctionnait pour les diffuseurs canadiens il y a dix ans, voire quelques années, ne fonctionne plus aujourd’hui.
  • Le secteur change à une vitesse considérable, mais la réglementation canadienne a été trop lente à s’adapter aux défis majeurs de l’industrie. La Loi sur la diffusion continue en ligne a pris trois ans à être élaborée et n’est toujours pas mise en œuvre.
  1. Nous sommes toujours prêts à parler aux décideurs politiques
  • Bell se présentera devant le Comité permanent du patrimoine canadien le 11 avril pour discuter des défis auxquels notre industrie fait face et des possibilités qui en découlent.
  • Bell a confirmé sa présence à la rencontre du 11 avril dès que nous avons pris connaissance de la discussion du Comité sur le sujet.
  • Nous n’avons jamais refusé de nous présenter devant le Comité.

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