BCE présente ses résultats du quatrième trimestre et de l'ensemble de l'exercice 2010 et annonce ses perspectives commerciales pour 2011
Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section intitulée Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le communiqué.
- Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de BCE de 439 millions $ au quatrième trimestre, en hausse de 25,4 %, et BPA en hausse de 26,1 %
- Croissance de 1,3 % des produits d'exploitation tirés des services de Bell au quatrième trimestre, bénéfice d'exploitation en hausse de 20,8 % et BAIIA(1) en hausse de 1,1 %
- Croissance des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell de 8,3 % au quatrième trimestre, croissance des produits d'exploitation tirés des services de 9,1 % et PMU pondéré en hausse de 1,26 $ sur une croissance des produits d'exploitation des services de données de 38 %
- Dépenses en immobilisations de 860 millions $, en hausse de 34,4 % d'un exercice à l'autre, en vue d'étendre la capacité Internet à large bande sans fil et sur fil
- Autre trimestre record avec 552 714 activations brutes dans le sans-fil, et activations nettes des services postpayés en hausse de 42,6 %, à 156 708
- Augmentation de 62,1 % du bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell au quatrième trimestre, BAIIA du secteur Services sur fil de Bell en hausse de 6,9 % du fait du ralentissement des pertes d'abonnés des SAR, de la croissance de 7,9 % des produits d'exploitation des services de télévision et des réductions de coûts
- Orientation financière de 2010 atteinte
MONTRéAL, le 10 févr. 2011 -- BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications au Canada, a annoncé aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le quatrième trimestre de 2010 ainsi que son orientation financière pour 2011.
BCE a réalisé une solide performance financière avec un bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de 439 millions $, en hausse de 25,4 %. Le BPA et le BPA ajusté(2) pour le trimestre se sont établis à 0,58 $ et à 0,60 $, ce qui représente une croissance de 26,1 % et de 17,6 %, respectivement. Bell a enregistré une augmentation de 0,9 % de ses produits d'exploitation, attribuable à la croissance de 1,3 % des produits d'exploitation tirés des services, ce qui reflète la forte progression, de 8,3 % et de 7,9 %, respectivement, des produits d'exploitation dans le sans-fil et les services de télévision, la croissance de 20,8 % du bénéfice d'exploitation, la croissance de 1,1 % du BAIIA, des activations brutes d'abonnés dans le sans-fil de 552 714 et des ajouts nets d'abonnés des services postpayés de 156 708, ainsi que des ajouts nets d'abonnés des services de télévision de 23 019 et des ajouts nets d'abonnés du service Internet haute vitesse de 12 099.
Bell a un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications au Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution des cinq impératifs stratégiques - investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.
« La performance que nous avons réalisée au quatrième trimestre couronne un exercice remarquable marqué par les accomplissements de l'équipe de Bell, avec une performance exceptionnelle dans le sans-fil, une croissance importante du BAIIA dans le sur-fil et des progrès continus en matière de réduction des coûts et d'efficience. Nous avons atteint tous nos objectifs financiers révisés à la hausse pour 2010 », affirme George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada. « Nous avons réalisé de grands progrès en ce qui a trait à la réalisation des objectifs stratégiques de Bell grâce à une importante augmentation des investissements dans la capacité Internet à large bande sans fil et sur fil, qui nous permet d'élargir la clientèle sur nos plateformes de services de croissance, et aux acquisitions qui contribuent à l'exécution de nos objectifs stratégiques - notamment CTV, la première société canadienne de médias, ainsi que Hypertec et xwave, en vue de soutenir la croissance dans les services d'hébergement de données et l'informatique en nuage chez Bell Marchés Affaires. »
« Le secteur Services sans fil de Bell a considérablement accru sa part du marché des services postpayés grâce à la mise en oeuvre réussie de mesures axées sur le marché s'appuyant sur le réseau HSPA+ d'avant-garde mondiale de Bell, une gamme de téléphones intelligents et autres appareils de qualité supérieure, des services de données améliorés comme Télé Mobile de Bell et le plus grand réseau de distribution de services sans fil au pays. Parallèlement, dans le secteur Services sur fil de Bell, nous avons enregistré une forte croissance du BAIIA, des diminutions substantielles au chapitre des pertes d'abonnés des SAR sur fil et un niveau élevé d'activations nettes de services Internet et de télévision, grâce au lancement des services de prochaine génération Télé Fibe et Internet Fibe sur notre réseau de fibre optique à large bande qui connaît une expansion rapide », affirme M. Cope.
« La performance financière que nous avons réalisée en 2010 a été soulignée par la solide croissance de 32,7 % du bénéfice net et le niveau élevé des flux de trésorerie disponibles, ce qui reflète l'accélération de la croissance des produits d'exploitation dans le sans-fil et le taux de croissance du BAIIA le plus important du secteur Services sur fil, soit de 5,9 %, et une amélioration de la marge », souligne M. Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada.
« Nous avons également continué de maintenir fermement le cap sur nos objectifs à l'égard des marchés financiers en 2010. Nous avons respecté notre engagement d'accroître le rendement pour nos actionnaires en majorant par deux fois le dividende sur les actions ordinaires au cours des douze derniers mois, pour une augmentation globale de 35 % depuis le quatrième trimestre de 2008, et en effectuant un rachat d'actions de 500 millions $ en décembre, à un prix moyen par action de 30,80 $. Nous avons remboursé la dette à hauteur de 400 millions $ en 2010 au moyen des fonds en caisse, avons obtenu des conditions intéressantes sur les marchés financiers en novembre et avons maintenu des cotes de crédit élevées. En outre, du fait de la cotisation volontaire exceptionnelle de 750 millions $ versée au régime de retraite en décembre, nous prenons des mesures systématiques pour régler entièrement et définitivement notre déficit de solvabilité », souligne M. Vanaselja. « L'orientation financière pour 2011 dévoilée aujourd'hui reflète un plan financier équilibré qui prévoit le dégagement de flux de trésorerie disponibles substantiels de plus de 2,2 milliards $ et une croissance du BPA ajusté s'établissant entre 4 % et 8 % pour faciliter la mise en œuvre de notre plan d'affaires et de notre stratégie relative aux marchés financiers centrée sur l'offre d'un rendement croissant aux actionnaires de BCE ».
Les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 0,9 % ce trimestre, s'établissant à 4 017 millions $, la hausse des produits d'exploitation des services sans fil et de télévision ayant plus que compensé la baisse des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données sur fil et des équipements et autres. Pour l'ensemble de l'exercice, les produits d'exploitation de Bell se sont établis à 15 425 millions $, une augmentation de 2,7 % comparativement à 2009.
Le bénéfice d'exploitation de Bell a augmenté de 20,8 % pour s'établir à 691 millions $ ce trimestre et il a augmenté de 22,2 % pour s'établir à 2 972 millions $ sur l'ensemble de l'exercice, en raison de l'augmentation du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA de Bell a augmenté de 1,1 % pour s'établir à 1 411 millions $ ce trimestre et il a augmenté de 2,4 % pour s'établir à 5 857 millions $ sur l'ensemble de l'exercice, la progression des produits d'exploitation, la diminution des charges de retraite et les réductions de coûts ayant plus que contrebalancé l'incidence de l'augmentation des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle dans le sans-fil. Malgré le nombre beaucoup plus élevé d'activations d'abonnés des services postpayés et de mises à niveau de combinés effectuées par les clients d'un exercice à l'autre, la marge du BAIIA de Bell est demeurée essentiellement inchangée, en hausse de 0,1 point de pourcentage, s'établissant à 35,1 % ce trimestre.
Les produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell ont progressé de 8,3 % ce trimestre, les produits d'exploitation tirés des services ayant augmenté de 9,1 % et les produits d'exploitation tirés des produits ayant augmenté de 3,9 %. Le bénéfice d'exploitation et le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell ont diminué de 18,8 % et de 11,5 %, respectivement, en raison des niveaux considérablement plus élevés d'activations brutes et de mises à niveau effectuées par les clients. Le PMU pondéré a augmenté de 1,26 $ d'un exercice à l'autre pour s'établir à 52,34 $, la croissance des produits d'exploitation des services de données de 38 % ayant plus que compensé les diminutions enregistrées par la composante services téléphoniques du PMU en raison de l'adoption par les clients de plans plus généreux.
Avec des activations brutes de 552 714 et des activations brutes de services postpayés de 399 041, le secteur Services sans fil de Bell a battu les records qui venaient d'être établis au troisième trimestre. En outre, les ajouts nets de services postpayés de 156 708 enregistrés dans le secteur Services sans fil de Bell représentent les ajouts nets de services postpayés les plus élevés pour un quatrième trimestre depuis le quatrième trimestre de 2002. Les activations brutes de services postpayés et les ajouts nets ainsi que les activations brutes totales enregistrés pour l'ensemble de l'exercice 2010, dans le secteur Services sans fil de Bell, représentent également des records inégalés au cours de toute année civile. Les activations brutes de services prépayés se sont établies à 153 673, soit 31,2 % de moins qu'à l'exercice précédent, ce qui reflète une intensification de la concurrence, en particulier dans le segment inférieur du marché. La clientèle d'abonnés des services prépayés a diminué de 39 926 ce trimestre, comparativement à un gain de 52 938 l'exercice précédent.
Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 2,5 %, la croissance des produits d'exploitation des services de télévision ayant été plus que contrebalancée par les diminutions au chapitre des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données sur fil et des équipements et autres. Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 62,1 % par suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 6,9 % du fait des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite.
Dans le secteur Services sur fil de Bell, les pertes d'abonnés des SAR ont totalisé 64 172 ce trimestre, une amélioration de 40,3 % comparativement à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés des services de télévision a augmenté de 23 019, comparativement à une augmentation de 40 889 à la période correspondante de l'exercice précédent. La clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse a augmenté de 12 099, une progression de 55,0 % comparativement au quatrième trimestre de l'exercice précédent, entraînée par les augmentations au chapitre de la clientèle d'abonnés des services Internet résidentiels, qui a plus que doublé d'un exercice à l'autre.
Bell a investi du capital à hauteur de 860 millions $ ce trimestre, soit une hausse de 34,4 % comparativement au trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui reflète l'augmentation des investissements dans notre capacité Internet à large bande tant sans fil que sur fil, notamment la poursuite du déploiement de la fibre dans des quartiers résidentiels, des immeubles à logements multiples et jusqu'au domicile (réseau FTTH) dans la ville de Québec, ainsi que l'amélioration en cours de notre réseau à l'appui des services Bell Internet Fibe et Bell Télé Fibe. Pour l'ensemble de l'exercice, Bell a investi 2 463 millions $, soit 3,1 % de plus qu'en 2009. L'intensité du capital de Bell en 2010 a été de 16,0 %, l'accent étant mis sur le réseau de fibre optique sur fil et le réseau HSPA+ sans fil.
Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de BCE ce trimestre se sont établis à 568 millions $, comparativement à 948 millions $ à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison d'une cotisation volontaire exceptionnelle de 750 millions $ au régime de retraite versée en décembre 2010, qui représente une importante augmentation par rapport à la cotisation volontaire exceptionnelle de 500 millions $ au régime de retraite versée en décembre 2009. Les flux de trésorerie disponibles(3) ce trimestre, avant et après cette contribution exceptionnelle au régime de retraite, se sont établis à 201 millions $ et à un montant négatif de 549 millions $, respectivement. Pour l'ensemble de l'exercice, les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de BCE se sont établis à 4 724 millions $ et les flux de trésorerie disponibles, avant et après la contribution exceptionnelle au régime de retraite, se sont établis à 2 124 millions $ et à 1 374 millions $, respectivement.
Le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de BCE ce trimestre s'est chiffré à 439 millions $, ou 0,58 $ par action, comparativement à 350 millions $, ou 0,46 $ par action, à la période correspondante de l'exercice précédent. La croissance du bénéfice ce trimestre reflète la diminution de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels ainsi que la baisse des frais de restructuration et autres. Pour l'ensemble de l'exercice, le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de BCE s'est chiffré à 2 165 millions $, ou 2,85 $ par action, comparativement à 1 631 millions $, ou 2,11 $ par action.
Le BPA ajusté de BCE s'est établi à 0,60 $ ce trimestre, une augmentation de 17,6 % comparativement à l'exercice précédent, par suite de l'amélioration du BAIIA, de la diminution de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels et du nombre moindre d'actions ordinaires de BCE en circulation en raison des rachats d'actions effectués dans le cadre de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de 2010. Pour l'ensemble de l'exercice, le BPA ajusté de BCE s'est établi à 2,84 $ par action, soit 13,6 % de plus qu'à l'exercice précédent.
Faits saillants financiers | ||||
(en millions $, sauf les montants par action) (non vérifié) | T4 2010 | T4 2009 |
% de variation |
|
Bell (i) | ||||
Produits d'exploitation | 4 017 | 3 982 | 0,9 | % |
BAIIA | 1 411 | 1 395 | 1,1 | % |
Bénéfice d'exploitation | 691 | 572 | 20,8 | % |
BCE | ||||
Produits d'exploitation | 4 683 | 4 650 | 0,7 | % |
BAIIA | 1 744 | 1 737 | 0,4 | % |
Bénéfice d'exploitation | 836 | 751 | 11,3 | % |
Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires | 439 | 350 | 25,4 | % |
BPA | 0,58 | 0,46 | 26,1 | % |
BPA ajusté | 0,60 | 0,51 | 17,6 | % |
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation | 568 | 948 | (40,1) | % |
Flux de trésorerie disponibles | (549) | 15 | n.s. |
(i) Bell inclut les secteurs Services sans fil de Bell et Services sur
fil de Bell.
n.s. : non significatif
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 0,7 % pour s'établir à 4 683 millions $ ce trimestre, et de 1,9 % pour s'établir à 18 069 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, l'augmentation des produits d'exploitation chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution des produits d'exploitation chez Bell Aliant.
Le bénéfice d'exploitation de BCE a augmenté de 11,3 % pour s'établir à 836 millions $ ce trimestre, et de 15,1 % pour s'établir à 3 672 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, l'augmentation du bénéfice d'exploitation de Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du bénéfice d'exploitation de Bell Aliant. Le BAIIA de BCE a augmenté de 0,4 % pour s'établir à 1 744 millions $ ce trimestre, et de 1,4 % pour s'établir à 7 188 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, la croissance du BAIIA chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du BAIIA chez Bell Aliant.
Secteur Services sans fil de Bell
Grâce à l'impulsion soutenue que lui a donnée le lancement de son réseau
HSPA+ d'avant-garde mondiale, le secteur Services sans fil de Bell a
enregistré un autre trimestre record pour ce qui est des activations
brutes, ainsi qu'un nombre élevé d'ajouts nets de services postpayés,
une croissance des produits d'exploitation des services de données de
38 % et une augmentation du taux de pénétration du marché des
téléphones intelligents.
- Le total des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a augmenté de 8,3 % pour s'établir à 1 297 millions $ ce trimestre. Les produits d'exploitation tirés des services ont augmenté de 9,1 % pour s'établir à 1 151 millions $ en raison de l'augmentation de la clientèle et de la croissance de 38 % des produits d'exploitation des services de données sans fil. Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 3,9 % pour s'établir à 134 millions $ en raison de la hausse des activations et de l'augmentation du nombre de clients utilisant des téléphones intelligents. Pour l'ensemble de l'exercice, le total des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a progressé de 8,2 % pour s'établir à 4 934 millions $, les produits d'exploitation tirés des services ayant augmenté de 9,2 % pour s'établir à 4 481 millions $ et les produits d'exploitation tirés des produits ayant augmenté de 0,5 % pour s'établir à 407 millions $.
- Le PMU pondéré a augmenté de 1,26 $ pour s'établir à 52,34 $. Le PMU des services postpayés a augmenté de 1,00 $ pour s'établir à 63,47 $ en raison de l'utilisation plus intensive des services de données, en partie contrebalancée par l'adoption de plus en plus fréquente par les abonnés de plans tarifaires concurrentiels offrant davantage de services et de minutes d'appels, pour des prix mensuels moindres. Le PMU des services prépayés a diminué de 1,49 $ pour s'établir à 16,96 $ en raison de la migration des clients des services prépayés, générant une valeur élevée, vers des plans de services postpayés. Pour l'ensemble de l'exercice, le PMU pondéré a augmenté de 0,33 $ pour s'établir à 52,03 $, le PMU des services postpayés a augmenté de 0,62 $ pour s'établir à 63,49 $ et le PMU des services prépayés a augmenté de 0,61 $ pour s'établir à 17,76 $.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a diminué de 18,8 % pour s'établir à 237 millions $ ce trimestre et de 9,7 % pour s'établir à 1 160 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, en raison de la diminution du BAIIA et de l'augmentation de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell a diminué de 11,5 % pour s'établir à 385 millions $ ce trimestre et de 5,0 % pour s'établir à 1 721 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, en raison de la hausse des coûts d'acquisition d'abonnés associée à l'augmentation des activations brutes, à l'augmentation du nombre de mises à niveau effectuées par les abonnés et à l'élargissement de la gamme des téléphones intelligents.
- Les marges du BAIIA sur les produits d'exploitation tirés des services dans le sans-fil ont diminué pour s'établir à 33,4 % ce trimestre, contre 41,2 % l'exercice précédent.
- Le total des activations brutes a atteint un nouveau record ce trimestre, s'établissant à 552 714, soit 5,5 % de plus qu'à l'exercice précédent. Les activations brutes de services postpayés se sont élevées à 399 041, soit 32,9 % de plus qu'à l'exercice précédent, ce qui reflète l'accent mis sur l'acquisition d'abonnés des services postpayés. Les activations brutes de services prépayés se sont établies à 153 673, soit 31,2 % de moins qu'à l'exercice précédent, ce qui reflète une intensification de la concurrence, en particulier dans le segment inférieur du marché.
- Les ajouts nets ont totalisé 116 782 ce trimestre, soit 28,3 % de moins qu'à l'exercice précédent. Les ajouts nets de services postpayés se sont établis à 156 708 ce trimestre, soit 42,6 % de plus qu'à l'exercice précédent. La clientèle d'abonnés des services prépayés a diminué de 39 926 ce trimestre alors qu'elle avait augmenté de 52 938 à l'exercice précédent en raison de la diminution des activations brutes de services prépayés et de l'augmentation du taux de désabonnement.
- La clientèle du secteur Services sans fil de Bell a atteint 7 242 048 abonnés à la fin du trimestre, une augmentation de 6,0 % par rapport à l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a augmenté, passant de 1,3 % à 1,5 %, à l'instar du taux de désabonnement des services prépayés, qui est passé de 3,2 % à 3,6 %, ce qui reflète une intensification de la concurrence provenant en particulier des nouveaux venus dans le segment inférieur du marché. Le taux de désabonnement pondéré a augmenté pour s'établir à 2,0 %, contre 1,8 % à l'exercice précédent.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 37,0 % ce trimestre, pour s'établir à 448 $ par activation brute, en raison de l'augmentation des subventions au titre des combinés et des commissions.
Secteur Services sur fil de Bell
Le secteur Services sur fil de Bell a enregistré une meilleure
performance au chapitre du BAIIA d'un exercice à l'autre, un
ralentissement marqué de l'érosion des lignes d'accès au réseau et un
nombre élevé d'activations d'abonnés des services de télévision et
Internet haute vitesse.
- Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 2,5 % pour s'établir à 2 769 millions $ ce trimestre, la croissance des produits d'exploitation des services de télévision ayant plus que contrebalancé les diminutions dans les produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains, des services de données et des équipements et autres. Pour l'ensemble de l'exercice, les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont augmenté de 0,3 % pour s'établir à 10 695 millions $.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 62,1 % pour s'établir à 454 millions $ ce trimestre, et de 57,8 % pour s'établir à 1 812 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, par suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels.
- Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 6,9 % ce trimestre, pour s'établir à 1 026 millions $, en raison des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite qui ont largement compensé la diminution des produits d'exploitation. Pour l'ensemble de l'exercice, le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 5,9 % pour s'établir à 4 136 millions $ en raison des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite.
- Les produits d'exploitation des services locaux et d'accès ont diminué de 5,4 % pour s'établir à 733 millions $ ce trimestre, en raison de l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires.
- Le nombre total d'abonnés des SAR a diminué de 64 172 ce trimestre alors qu'il avait baissé de 107 503 à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés des SAR d'affaires a diminué de 27 622 ce trimestre alors qu'il avait baissé de 28 493 à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés résidentiels des SAR a reculé de 36 550, alors qu'il avait baissé de 79 010 l'exercice précédent, ce qui est attribuable à la croissance de notre unité de gros et à l'amélioration continue au chapitre des pertes d'abonnés résidentiels des SAR de détail pour un treizième trimestre consécutif. Notre clientèle totale des SAR a diminué de 5,6 % d'un exercice à l'autre.
- Les produits d'exploitation des services interurbains ont reculé de 11,7 % pour s'établir à 234 millions $ ce trimestre, en raison surtout de l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires et de l'accroissement de l'adoption, par les clients des services résidentiels, de plans offrant un volume d'utilisation illimité ou un important volume d'utilisation.
- Les produits d'exploitation des services de données ont diminué de 0,3 % pour s'établir à 970 millions $ ce trimestre étant donné que la croissance des produits d'exploitation tirés des services IP et de connectivité à large bande, des produits d'exploitation tirés des services Internet résidentiels et des ventes d'équipements de données aux grandes entreprises clientes a été plus que contrebalancée par la diminution des produits d'exploitation tirés des services de données traditionnels.
- Le nombre d'abonnés à Internet haute vitesse a augmenté de 12 099 ce trimestre, une hausse de 55,0 % comparativement à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, Bell comptait 2 097 326 abonnés à Internet haute vitesse, soit une augmentation de 2,0 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les produits d'exploitation des services de télévision ont augmenté de 7,9 % pour s'établir à 450 millions $ ce trimestre en raison de l'accroissement de la clientèle et de la transition des abonnés vers des blocs de programmation d'émissions dont le prix est plus élevé.
- Le nombre total d'abonnés des services de télévision a augmenté de 23 019 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 40 889 à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, la clientèle des services de télévision totalisait 2 020 098 abonnés, soit 3,7 % de plus qu'à la fin de l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement de la clientèle des services de télévision a augmenté pour s'établir à 1,5 %, contre 1,3 % à l'exercice précédent.
- Les produits d'exploitation des équipements et autres ont diminué de 6,2 % pour s'établir à 304 millions $ ce trimestre.
Bell Aliant Communications régionales
Les produits d'exploitation de Bell Aliant ont diminué de 1,0 % pour
s'établir à 777 millions $ ce trimestre, du fait de la baisse des
produits d'exploitation des services locaux et d'accès et des services
interurbains. Le bénéfice d'exploitation de Bell Aliant a diminué de
19,0 %, pour s'établir à 145 millions $, en raison de la baisse des
produits d'exploitation.
Dividende sur actions ordinaires
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,4925 $ par action ordinaire, payable le 15 avril 2011 aux
actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 mars 2011.
Normes internationales d'information financière (IFRS)
Le Conseil des normes comptables du Canada a établi que le 1er janvier 2011 serait la date à laquelle les IFRS remplaceront les
principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada pour les
entreprises ayant une obligation d'information du public, y compris les
émetteurs assujettis du Canada. BCE dressera ses états financiers
conformément aux IFRS à compter du 1er janvier 2011. L'information financière présentée conformément aux IFRS
diffère de celle présentée conformément aux PCGR du Canada à un certain
nombre d'égards, dont certains sont importants.
Des ébauches préliminaires de rapprochement entre les PCGR du Canada et les IFRS, pour le bilan d'ouverture de BCE au 1er janvier 2010, son bilan de clôture au 31 décembre 2010 et son état consolidé des résultats pour l'exercice terminé le 31 décembre 2010, seront présentées dans le rapport de gestion annuel de BCE. Selon les prévisions, l'adoption des IFRS entraînera une réduction globale d'environ 4,5 milliards $ au chapitre des capitaux propres de BCE au 31 décembre 2010, découlant principalement d'une réduction à la juste valeur de certaines immobilisations et de l'application rétrospective de la méthode d'amortissement linéaire à cet égard, ainsi que la comptabilisation de charges non capitalisées au titre des régimes de retraite. Selon le travail effectué à ce jour, l'adoption des IFRS aura une incidence négligeable sur l'état consolidé des résultats de BCE. Le BPA ajusté préliminaire fondé sur un BPA établi selon les IFRS pour l'exercice terminé le 30 décembre 2010 est de 2,79 $.
Perspectives
L'orientation financière de BCE pour 2011 reflète les progrès continus
relativement à l'exécution des cinq impératifs stratégiques de Bell et
de la stratégie de BCE à l'égard des marchés financiers.
L'orientation financière pour la croissance des produits d'exploitation, du BAIIA, du BPA ajusté et des flux de trésorerie disponibles est fondée sur des résultats financiers calculés selon les IFRS.
De même, l'orientation pour le BPA ajusté, les flux de trésorerie disponibles et l'intensité du capital est calculée à partir de résultats établis selon les IFRS.
Compte tenu de la situation de ses activités dans le sans-fil, la télévision et Internet et de l'amélioration des perspectives au chapitre de l'érosion des SAR, Bell cherche à atteindre une croissance des produits d'exploitation se situant entre 1 % et 2 % en 2011. La croissance des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell devrait être stimulée par l'investissement important effectué en 2010 dans l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle, ainsi que par la croissance continue des activations de téléphones intelligents et de l'utilisation des services de données. Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell devraient profiter de la croissance des produits d'exploitation des services de télévision et Internet découlant de la performance au chapitre du PMU et de l'élargissement de la zone de couverture du service de Télé Fibe.
Avec des produits d'exploitation plus élevés dans le sans-fil et une importance soutenue accordée à la réduction des coûts, Bell cherche à atteindre une croissance du BAIIA se situant entre 2 % et 4 % en 2011.
BCE prévoit atteindre un BPA ajusté de 2,90 $ à 3,00 $ en 2011 en raison de l'augmentation du BAIIA et de la diminution des charges de retraite totales. Avec la majoration annoncée en décembre de 7,7 % du dividende annuel sur les actions ordinaires de BCE, qui passe à 1,97 $ l'action, le ratio de distribution de BCE se situe à un niveau prudent, près de la borne inférieure de sa fourchette de 65 % à 75 % du BPA ajusté pour 2011.
BCE prévoit être en mesure de générer des flux de trésorerie disponibles substantiels en 2011. Des flux de trésorerie disponibles cibles de 2 200 millions $ à 2 300 millions $ fourniront à BCE la souplesse financière nécessaire pour appliquer sa stratégie relative aux marchés financiers tout en maintenant les dépenses en immobilisations stratégiques chez Bell à des niveaux suffisamment élevés pour soutenir la croissance de ses activités et continuer d'améliorer sa position concurrentielle.
L'orientation financière de BCE pour 2011 est la suivante :
IFRS 2010 | Orientation pour 2011 | |
Bell (i) | ||
Produits d'exploitation | 15 669 M$ | |
Croissance des produits d'exploitation | 1 % à 2 % | |
BAIIA | 5 812 M$ | |
Croissance du BAIIA | 2 % à 4 % | |
Intensité du capital | 16,0 % | ~16 % |
BCE | ||
BPA ajusté | 2,79 $ | 2,90 $ à 3,00 $ |
Croissance du BPA ajusté | 4 % à 8 % | |
Flux de trésorerie disponibles (ii) | 1 412 M$ | 2 200 M$ à 2 300 M$ |
Croissance des flux de trésorerie disponibles (iii) | 2 % à 6 % |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2011 pour les produits d'exploitation, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. |
(ii) | Les flux de trésorerie disponibles de 1 412 millions $ en 2010 comprennent l'incidence d'une cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite versée en décembre 2010. |
(iii) | La fourchette de la croissance des flux de trésorerie disponibles pour 2011 exclut la cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite versée en décembre 2010. |
L'orientation financière de BCE pour 2011 ne tient pas compte de l'acquisition non encore réalisée de CTVglobemedia Inc. (CTV), et elle sera mise à jour au moment de la conclusion de l'acquisition de CTV, qui devrait se conclure au deuxième trimestre de 2011.
Conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes
financiers afin de traiter de ses résultats du quatrième trimestre et
de l'orientation financière pour 2011, le jeudi 10 février, à 8 h
(heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre
d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le 416-340-8530 ou le
numéro sans frais 1-877-240-9772 peu de temps avant le début de la
conférence. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au
416-695-5800 ou au 1-800-408-3053 (composez le code d'identification
1525180#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/bce-q4-2010-results-conference-call-and-2011-guidance-session. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.
Notes
L'information contenue dans le présent communiqué est non vérifiée.
(1) | Le terme BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels), dans la mesure où il est lié à nos résultats de 2010 et de 2009 préparés selon les PCGR du Canada, n'a pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits d'exploitation moins le coût des ventes et les frais de vente, généraux et administratifs, c'est-à-dire comme le bénéfice d'exploitation avant l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels et les frais de restructuration et autres. Nous utilisons le BAIIA, entre autres mesures, pour évaluer le rendement d'exploitation de nos activités permanentes, avant l'incidence de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels et des frais de restructuration et autres. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'exploitation. Nous excluons l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels, étant donné que cet élément est principalement fonction des méthodes comptables et des hypothèses utilisées par une société, ainsi que de facteurs hors exploitation comme le coût historique des immobilisations. Le fait d'exclure les frais de restructuration et autres ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le BAIIA nous permet de comparer notre rendement d'exploitation de manière constante. Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société à assurer le service de sa dette et à satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. La mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable est le bénéfice d'exploitation. Les tableaux ci-après présentent un rapprochement, préparé selon les PCGR du Canada, du bénéfice d'exploitation et du BAIIA pour 2010 et 2009, sur une base consolidée, pour BCE, pour Bell et pour nos secteurs Services sur fil de Bell et Services sans fil de Bell. |
(en millions $) | ||||
BCE |
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 836 | 751 | 3 672 | 3 191 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 856 | 904 | 3 292 | 3 371 |
Frais de restructuration et autres | 52 | 82 | 224 | 527 |
BAIIA | 1 744 | 1 737 | 7 188 | 7 089 |
BELL |
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 691 | 572 | 2 972 | 2 432 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 715 | 758 | 2 726 | 2 804 |
Frais de restructuration et autres | 5 | 65 | 159 | 483 |
BAIIA | 1 411 | 1 395 | 5 857 | 5 719 |
SECTEUR SERVICES SUR FIL DE BELL |
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 454 | 280 | 1 812 | 1 148 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 566 | 622 | 2 169 | 2 284 |
Frais de restructuration et autres | 6 | 58 | 155 | 475 |
BAIIA | 1 026 | 960 | 4 136 | 3 907 |
SECTEUR SERVICES SANS FIL DE BELL |
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 237 | 292 | 1 160 | 1 284 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 149 | 136 | 557 | 520 |
Frais de restructuration et autres | (1) | 7 | 4 | 8 |
BAIIA | 385 | 435 | 1 721 | 1 812 |
(2) | Les termes bénéfice net ajusté et bénéfice par action ajusté, ou BPA ajusté, dans la mesure où ils sont liés à nos résultats de 2010 et de 2009 préparés selon les PCGR du Canada, n'ont pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net avant les frais de restructuration et autres et les (gains nets) pertes nettes sur placements. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer le rendement d'exploitation de nos activités permanentes, avant l'incidence après impôts des frais de restructuration et autres et des (gains nets) pertes nettes sur placements. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'exploitation. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Les mesures financières selon les PCGR du Canada les plus comparables sont le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires et le bénéfice par action. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actions ordinaires et du bénéfice par action, préparé selon les PCGR du Canada, avec le bénéfice net ajusté, sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE Inc. (BPA ajusté), respectivement, pour 2010 et 2009. |
(en millions $, sauf les montants liés aux actions) | ||||||||
|
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 | ||||
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
TOTAL |
PAR ACTION |
|
Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires | 439 | 0,58 | 350 | 0,46 | 2 165 | 2,85 | 1 631 | 2,11 |
Frais de restructuration et autres | 18 | 0,03 | 48 | 0,06 | 127 | 0,17 | 339 | 0,44 |
(Gains nets) pertes nettes sur placements | - | (0,01) | (11) | (0,01) | (133) | (0,18) | (41) | (0,05) |
Bénéfice net ajusté | 457 | 0,60 | 387 | 0,51 | 2 159 | 2,84 | 1 929 | 2,50 |
(3) | Le terme flux de trésorerie disponibles, dans la mesure où il est lié à nos résultats de 2010 et de 2009 préparés selon les PCGR du Canada, n'a pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation et les distributions reçues de Bell Aliant, moins les dépenses en immobilisations, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions versés par des filiales aux actionnaires sans contrôle, les autres activités d'investissement et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous présentons les flux de trésorerie disponibles de manière uniforme d'une période à l'autre, ce qui nous permet de comparer notre rendement financier de manière constante. Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation sont la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation, préparé selon les PCGR du Canada, et des flux de trésorerie disponibles, pour 2010 et 2009, sur une base consolidée. |
(en millions $) | ||||
|
T4 2010 | T4 2009 | 2010 | 2009 |
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation | 568 | 948 | 4 724 | 4 884 |
Distributions de Bell Aliant à BCE | 73 | 72 | 291 | 291 |
Dépenses en immobilisations | (1 022) | (760) | (2 959) | (2 854) |
Autres activités d'investissement | (22) | (11) | (98) | (89) |
Dividendes versés sur actions privilégiées | (28) | (26) | (108) | (107) |
Distributions en espèces versées par des filiales aux actionnaires sans contrôle | (93) | (92) | (370) | (369) |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (25) | (116) | (106) | (300) |
Flux de trésorerie disponibles | (549) | 15 | 1 374 | 1 456 |
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris,
sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation
financière pour 2011 (ce qui comprend les produits d'exploitation, le
BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie
disponibles), les perspectives commerciales, les objectifs, les plans
et les priorités stratégiques, la politique de dividendes de BCE,
l'acquisition proposée par BCE de la participation restante de 85 %
dans CTV qu'elle ne détenait pas déjà, ainsi que d'autres déclarations
qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations
prospectives. Les déclarations prospectives, du fait même de leur
nature, font l'objet de risques et incertitudes intrinsèques et
reposent sur plusieurs hypothèses donnant lieu à la possibilité que les
résultats ou événements réels diffèrent de façon importante des
attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations
prospectives. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation
des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque d'accorder une confiance sans réserve à ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent
dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 10 février
2011 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans
la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières
l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à
réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements
ou de l'occurrence d'événements futurs ni pour toute autre raison. Sauf
indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives
ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents
ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations,
de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou
d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le
10 février 2011. L'incidence financière de ces transactions ou éléments
non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ou la
présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le but de
donner de l'information sur les attentes et les plans actuels de la
direction, en particulier pour 2011, et de permettre aux investisseurs
et à d'autres parties de mieux comprendre le contexte dans lequel nous
exerçons nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait
que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Hypothèses sur l'économie et les marchés
Un certain nombre d'hypothèses sur l'économie et les marchés canadiens
ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations
prospectives pour 2011 contenues dans le présent communiqué, y compris,
sans s'y limiter : (i) l'augmentation du PIB du Canada d'environ 2,4 %
en 2011, comparativement à 2010, selon la récente estimation de la
Banque du Canada, (ii) le maintien de la compression des coûts et de la
prudence manifestée par les clients d'affaires en matière de dépenses,
compte tenu du rythme modéré de la reprise économique, (iii) le
maintien aux mêmes niveaux de la concurrence dans les services
résidentiels sur fil, surtout des entreprises de câblodistribution et
des fournisseurs de services voix sur protocole Internet (voix sur IP),
(iv) l'accroissement du rythme de substitution dans le sur-fil,
principalement en raison de la présence de nouveaux concurrents dans le
sans-fil et de l'adoption accélérée des services Internet et de
télévision mobiles et (v) la croissance de 4 à 5 points de base du taux
de pénétration du marché du sans-fil, en 2011, surtout en raison de la
concurrence exercée par les nouveaux venus, de l'adoption croissante
des téléphones intelligents et de l'utilisation plus intensive des
applications de données, ainsi que de l'émergence de nouveaux types
d'appareils sans fil, comme les tablettes.
Hypothèses relatives aux activités d'exploitation
Nos déclarations prospectives pour 2011 reposent également sur diverses
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes concernant
Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : (i) la
poursuite du ralentissement de nos pertes d'abonnés des services
d'accès au réseau (SAR) résidentiels et d'affaires, malgré la vive
concurrence qui continue de sévir, (ii) la poursuite de la migration
des clients vers les systèmes sur protocole Internet (IP) et les
pressions continues sur les prix dans nos marchés d'affaires et de
gros, (iii) le maintien de la part de marché de Bell Mobilité du marché
des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises
titulaires, (iv) la capacité de Bell à tirer parti des investissements
effectués dans son réseau HSPA+ pour favoriser l'augmentation du nombre
de clients utilisant des téléphones intelligents et d'autres clients
générant une valeur élevée, qui donnerait lieu à une croissance des
produits d'exploitation des services de données et d'itinérance, (v)
l'augmentation du produit moyen par unité (PMU) pour nos services sans
fil en raison de l'utilisation accrue des services de données et
d'itinérance, contrebalancée en partie par la diminution de la
composante services téléphoniques du PMU imputable à l'intensification
de la concurrence, (vi) l'expansion de la marge du BAIIA pour les
services sans fil, malgré l'augmentation des dépenses totales pour
l'acquisition et la fidélisation de la clientèle, grâce à l'incidence
favorable de l'imposant volume des activités de chargement des abonnés
en 2010 et à la croissance du PMU d'un exercice à l'autre, (vii) la
poursuite de l'expansion et de la mise à niveau de l'infrastructure et
du réseau de fibre à large bande pour développer nos services de
télévision sur protocole Internet (Télé Fibe) et nos services Internet,
(viii) le nombre approximatif de 2 millions de foyers prêts à recevoir
les services de Télé Fibe et l'accroissement de la zone de couverture
du réseau de fibre à large bande pour englober environ 4 millions de
foyers d'ici la fin de 2011, (ix) les améliorations apportées au réseau
de fibre à large bande pour favoriser l'accroissement du nombre
d'abonnés et du PMU ainsi que la diminution du taux de désabonnement,
* la contribution de la Télé Fibe au raffermissement de la croissance
globale du nombre d'abonnés des services vidéo et (xi) la réduction des
dépenses dans les services sur fil et les gains en matière d'efficacité
opérationnelle découlant de l'importance que nous continuons d'accorder
aux occasions d'économie de coûts, pour aider à contrebalancer les
coûts liés à l'introduction graduelle de notre service de Télé Fibe et
pour continuer à maintenir la stabilité des marges du BAIIA.
Hypothèses financières
Nos déclarations prospectives pour 2011 sont également basées sur
certaines autres hypothèses financières pour 2011 concernant Bell
(excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : (i) une
estimation des charges de retraite de Bell d'environ 120 millions de
dollars, fondée sur un taux d'actualisation comptable estimatif de 5,5
% et un rendement attendu de l'actif des régimes de 7 %, avec un coût
estimatif des services rendus au cours de l'exercice supérieur au BAIIA
d'environ 170 millions de dollars et un rendement estimatif net des
régimes de retraite inférieur au BAIIA d'environ 50 millions de
dollars, (ii) des besoins de capitalisation des régimes de retraite de
Bell totalisant environ 400 millions de dollars, (iii) des impôts en
espèces totalisant environ 200 millions de dollars pour Bell et (iv) le
remboursement des dettes arrivant à échéance en 2011 par Bell.
Nos déclarations prospectives pour 2011 sont également basées sur certaines autres hypothèses financières pour 2011 concernant BCE, y compris, sans s'y limiter : (i) un amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels légèrement inférieur à celui de 2010, (ii) des frais de restructuration et autres dans une fourchette de 100 millions de dollars à 150 millions de dollars, (iii) un taux d'imposition prévu par la loi d'environ 28,3 % et un taux d'imposition effectif d'environ 25 % et (iv) un dividende annuel sur les actions ordinaires de 1,97 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 10 février 2011, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque en conséquence desquels nos hypothèses
et estimations pourraient être inexactes et nos résultats ou événements
réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés
ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre
orientation financière pour 2011, sont énumérés ci-dessous. La
réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité
à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre
orientation financière pour 2011, dépend essentiellement du rendement
de notre exploitation, qui à son tour est assujetti à de nombreux
risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que tous
les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques
comprennent, sans s'y limiter : l'intensité de l'activité de nos
concurrents, y compris l'intensification de l'activité de ces derniers
dans le sans-fil découlant de l'octroi par Industrie Canada de licences
d'utilisation du spectre pour les SSFE à de nouveaux venus dans le
secteur du sans-fil et de leur capacité à lancer de tels services ou à
réaliser l'expansion de ceux-ci, ainsi que l'incidence connexe sur le
rythme des pertes de nos abonnés des SAR et, en général, sur notre
capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux de
même que sur nos stratégies d'établissement des prix, sur notre PMU et
sur nos résultats financiers; la variabilité des coûts d'acquisition
d'abonnés et de fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre
d'acquisitions d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de
téléphones intelligents et des montants des subvention; le rythme de
substitution technologique qui contribue à réduire l'utilisation des
services voix sur fil traditionnels et à augmenter le nombre de foyers
qui n'utilisent que les services de téléphonie sans fil; l'adoption
croissante par les clients des services de télévision parallèles; la
conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le
niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour
nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci; notre capacité
à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les
avantages attendus; notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos
initiatives de réduction des coûts et à limiter l'intensité du capital
tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle; notre
capacité à nous adapter aux changements technologiques et à offrir
rapidement de nouveaux produits et services; les cotisations accrues
aux régimes d'avantages sociaux; les événements touchant la
fonctionnalité de nos réseaux et de nos systèmes et logiciels de
technologie de l'information (TI) ainsi que notre capacité à les
protéger, à les maintenir et à les remplacer; la complexité de notre
environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent; les événements
ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous
fournir des produits et services essentiels et notre capacité à acheter
de tels produits et services, comme les combinés; la qualité de notre
réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans
laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication; les
interruptions de travail; les répercussions négatives éventuelles sur
nos réseaux Internet et sans fil découlant de l'augmentation importante
de la demande pour les services à large bande et du volume du trafic
des services de données sans fil; les niveaux de financement des
dépenses en immobilisations et autres, les exigences liées au
financement et à la dette et notre capacité à mobiliser le capital
nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce
qui a trait aux paiements de dividendes ainsi qu'au financement des
dépenses en immobilisations et autres et, de façon générale, notre
capacité à respecter nos obligations financières; notre capacité à
supprimer certains services traditionnels dans la mesure nécessaire
pour améliorer la productivité du capital et l'efficience de
l'exploitation; les initiatives ou les démarches réglementaires (dont
la possibilité qu'Industrie Canada augmente les droits de licences
d'utilisation du spectre ainsi que les modifications potentielles aux
restrictions relatives à la propriété étrangère), les litiges et les
modifications apportées aux lois ou aux règlements de même que les
questions fiscales; les risques liés au lancement des satellites
utilisés par Bell Télé ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en
orbite; la concurrence exercée par les services de télévision par SRD
américains non réglementés vendus illégalement au Canada et le vol de
nos services de télévision par satellite; la dépendance de BCE quant à
la capacité de ses filiales, coentreprises et autres sociétés dans
lesquelles elle détient une participation de lui verser des dividendes
ou de lui faire toute autre distribution; l'impossibilité de garantir
que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de
BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue; la
volatilité des marchés boursiers; notre capacité à maintenir le service
à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des
catastrophes environnementales ou des épidémies, des pandémies et
d'autres risques liés à la santé survenaient; les préoccupations en
matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des
appareils sans fil; l'échéancier et la réalisation prévus de
l'acquisition proposée par BCE de la participation restante de 85 %
dans CTV qu'elle ne détenait pas déjà, qui sont assujettis à des
conditions de clôture, à des droits de résiliation et à d'autres
risques et incertitudes y compris, sans s'y limiter, toute approbation
réglementaire exigée; le maintien en poste des employés ainsi que leur
rendement.
Nous encourageons également les investisseurs à lire les Dispositions refuges concernant les déclarations prospectives de BCE, datées du 10 février 2011, pour plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, déposées par BCE auprès des commissions canadiennes des valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des états-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ce document est également disponible sur le site Web de BCE au www.bce.ca. Les Dispositions refuges concernant les déclarations prospectives de BCE, datées du 10 février 2011, sont intégrées par renvoi à ce communiqué de presse. Pour plus de renseignements, veuillez consulter la présentation intitulée Conférence d'orientation à l'intention des analystes datée du 10 février 2011 qui se trouve sur le site Web de BCE.
À propos de BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit
un ensemble de services de communications des plus complets et des plus
novateurs à ses clients résidentiels et d'affaires au Canada. Assurés
sous les marques Bell et Bell Aliant, ils comprennent les services de
téléphonie, les services de communication sans fil, les services
Internet haute vitesse, les services de télévision numérique, les
services IP-large bande ainsi que les services de technologie de
l'information et des communications (TIC).
L'initiative en santé mentale de Bell est un programme de bienfaisance pluriannuel faisant la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire de la campagne de lutte contre la stigmatisation Bell Cause pour la cause et du soutien des soins communautaires, de la recherche et des meilleures pratiques au travail. Pour en savoir plus, visitez le site
www.bce.ca/santementale. Les actions de BCE sont cotées en Bourse au Canada et aux états-Unis. Pour plus d'information sur BCE, visitez le site www.bce.ca. Pour plus d'information sur les produits et services de Bell, visitez le site www.bell.ca.
Renseignements:
Questions des médias :
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Relations avec les médias, Bell
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Relations avec les investisseurs, BCE
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